Nouvelle édition enrichie d\'annexes biographiques pour un des ouvrages les plus complets de Jean Racine.CONTENU DÉTAILLÉ :— LES 12 PIÈCES DE THÉÂTRE :• La Thébaïde ou Les Frères ennemis (1664)• Alexandre le Grand (1665)• Andromaque (1667)• Les Plaideurs (1668)• Britannicus (1669)• Bérénice (1670)• Bajazet (1672)• Mithridate (1673)• Iphigénie en Aulide (1674)• Phèdre (1677)• Esther (1689)• Athalie (1691)— POÉSIES :• Sur les vaines occupations des gens du siècle— DISCOURS :• Réponse de M. Racine aux discours de MM. Thomas Corneille et Bergeret (1685)— DIVERS :• Abrégé de l’histoire de Port-Royal (posthume, 1742-1767)— ANNEXES :• Une BIOGRAPHIE détailléeA PROPOS DE L\'ÉDITEUR :Les éditions Arvensa sont les leaders de la littérature classique numérique. Leur objectif est de vous faire connaître les oeuvres des grands auteurs de la littérature classique en langue française à un prix abordable tout en vous fournissant la meilleure expérience de lecture sur votre liseuse. Tous les titres sont produits avec le plus grand soin.Chaque édition contient un système de navigation intuitif et ergonomique:• Naviguez par simple clic de chapitre à chapitre ou de livre à livre.• Accédez instantanément à la table des matières hyperliée globale.• Une table des matières est placée également au début de chaque titre.
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Biographie, Littérature, Discours, Œuvres complètes, Théâtre, Histoire
Agatha Raisin enquête, Tome 25... 3.9
Enquête, Policier, Humour, Théâtre, Mystère, Meurtre
Quelle mouche a piqué Agatha d'accepter la proposition de son amie Mrs. Bloxby d'assister au spectacle de fin d'année de la troupe de théâtre locale ? La mouche tsé tsé sans doute, car la mise en scène est si mauvaise qu'Agatha s'endort dès les cinq premières minutes. Jusqu'à ce qu'un cri retentissant la réveille en sursaut : happé par une trappe, un des acteurs est retrouvé empalé quelques mètres plus bas ! Loin d'être une jeune première, Agatha monte aussitôt sur les planches pour mener l'enquête. Mais entre chamailleries et querelles d'artistes, difficile de discerner le vrai du faux. Il y a pourtant urgence, car l'assassin est aux aguets, prêt à donner la réplique à Agatha...
Les Greenspan mènent une vie agréable dans une banlieue de Boston. Le père, Scott, est un cardiologue renommé ; Deb, sa femme, joue un rôle primordial dans la communauté du quartier en accueillant les nouveaux voisins et en aidant des réfugiés ; la fille, Maya, travaille dans une maison d’édition réputée à New York et le fils, Gideon, s’apprête à marcher sur les pas de son père. Nous sommes en 2013, Obama a été élu deux fois à la tête du pays, l’espoir est revenu – ses affiches de campagne ne clamaient-elles pas « Hope » ? Pourtant, tout va s’effondrer en quelques jours. Scott se retrouve accusé d’avoir falsifié des dossiers médicaux, Deb le quitte, Maya est licenciée et s’embourbe dans une histoire d’amour perdue d’avance, Gideon laisse tomber la fac. L’espoir s’est envolé… pour notre plus grand bonheur. Car Hope est un concentré d’humour, de satire et de dialogues acérés.
Monsieur Gaspard est un ancien acteur que des obligations familiales ont obligé à abandonner le théâtre. Ayant hérité d'un magasin de tissus situé sous la Galerie du Palais-Royal, à deux pas de la Comédie Française, il sent renaître en lui son irrésistible vocation, et abandonne son commerce entre les mains de la consciencieuse Mlle Lalouette, pour s'occuper d'une bande de jeunes du quartier auxquels il va communiquer sa passion. _ Grâce à lui, Marie-Béatrice découvrira sa vocation d'actrice, sa sœur Claude trouvera un fiancé, Martin échappera à l'influence de mauvais camarades, Mlle Lalouette verra s'épanouir son instinct maternel... Tous enfin s'enrichiront au contact de Molière et des grands auteurs dramatiques. _ Venues les vacances, une passionnante tournée de province effectuée au moyen d'un "bus" désaffecté surnommé "Le Panier", entraînera la jeune troupe jusqu'au fond de la Provence où elle espère redonner vie à un joli petit théâtre oublié. _ À partir de 10 ans et + (Fait maison) _ Jany Saint-Marcoux : la France des Trente Glorieuses racontée aux jeunes filles par Monique Oyallon : http://www.crilj.org/2012/03/25/jany-saint-marcoux-la-france-des-trente-glorieuses-racontee-aux-jeunes-filles/
Basé sur les faits historiques, le récit de cet ouvrage expose une thèse radicalement nouvelle, inédite et innovante des événements, des circonstances et des acteurs ayant mené à l'assassinat du président JFK. L’ouvrage est présenté comme un roman pour préserver une plus grande liberté de narration.
Alana la regarde longuement. Elle lui replace une mèche de cheveux rebelle derrière l’oreille et descend sa main jusqu’au collier que Fantig porte toujours autour du cou. Elle remet le pendentif dans le bon sens, le caresse, il signifie tant... Elle s’assied et sent son esprit vagabonder dans ses souvenirs, dans leurs souvenirs, le jour où elle a trouvé cette photo représentant une jeune fille et un bébé, une découverte qui a amené Fantig, sa grand-mère, à se confier sur son douloureux passé. » Ces révélations sur son adolescence vont amener Alana sur des chemins sinueux au cœur de la Seconde Guerre mondiale et la confronter à de nombreuses questions sans réponses. Déterminée à aider et à soulager sa grand-mère, Alana s’engage alors dans un bras de fer avec le passé.
Par un matin pluvieux, Martin et Léa quittent Montréal pour la Colombie-Britannique et les îles Haïda Gwaïi, emportant avec eux les cendres de Suzanne. Martin voudrait donner à la mère de sa fille, disparue subitement, une dernière demeure dans un lieu qui l'a connue heureuse. Il espère également que le long voyage vers l'Ouest pourra aider Léa à traverser le drame. Six ans plus tard, on les retrouve dans un petit village du Bas-Saint-Laurent, menant une vie tranquille – peut-être trop… Roman du deuil et du souvenir, La rumeur du ressac dit également la force, tour à tour lente et tumultueuse, de la réinvention de soi et de la rencontre de l'autre. Line Richard a donné à son écriture un rythme qui épouse leur mouvement continuel.
Revenue d'entre les morts, la jeune Christine traverse le feu et la glace, parle aux oiseaux, prédit l’avenir, vole d’arbre en arbre. En cette fin du XIIème siècle où les femmes sont considérées comme versatiles ou folles et rendues responsables de la Chute originelle, elle refuse le silence et la soumission. Adepte de la vie évangélique, elle se consacre au soin des malades, à la prière et à la contemplation mystique, mais n’en prône pas moins la redistribution des richesses, condamne les mauvais prêtres et prend la défense de la communauté juive. Féministe avant la lettre, celle qu’on appelle désormais Christine l’Admirable exhorte les épouses à se révolter contre leur mari, les nonnes à fuir les couvents et entraîne dans son sillage des centaines d'errantes, annonciatrices des fameuses béguines. Dans ce roman fascinant, qui traverse un siècle secoué par de grands bouleversements culturels et religieux, Gérard de Cortanze dresse le portrait d'une sainte femme dont les revendications sont d'une modernité stupéfiante.
Journal de bord d'une maternit... 0
Théâtre, Poésie, Littérature, Feel-good
Un livre déculpabilisant sur la maternité. Avant de tomber enceinte, on me demandait : « C’est pour quand ? » Je pensais que la pression allait se calmer une fois l’embryon logé au creux de mes entrailles ; j’avais tout faux. Une fois enceinte, les gens savaient mieux que moi ce qu’il fallait faire ou non. Ça ne s’est pas arrangé quand mon fils est né et pas non plus dans les années qui ont suivi sa naissance. Être mère, c’est douter de tout et n’être sûre de rien. C’est entendre tout et son contraire et avoir la pression, sans cesse. Vous serez jugée si vous allaitez ET si vous n’allaitez pas, si vous laissez pleurer votre bébé ET si vous accourez au premier cri, si vous travaillez trop depuis que vous êtes maman ET si vous ne travaillez pas. Vous savez quoi ?Vous avez le droit de n’avoir qu’un seul enfant. Et vous avez le droit d’en faire plusieurs à plus de deux ans d’intervalle. Vous avez le droit d’être frustrée et de regretter votre vie d’avant. Vous avez le droit de refuser les visites à la maternité. Bref, vous avez tous les droits, c’est vous la mère. Il est grand temps d’arrêter de culpabiliser. Le livre qui vous encourage à être la mère que vous voulez être, vous moquant de ce que les autres pensent. A propos de l'auteur : Déborah Laurent travaille depuis 17 ans comme journaliste. À 30 ans, elle est devenue maman d'un petit garçon et s'est expatriée en Californie, à Palm Springs, mari et enfant dans sa valise, pour couvrir les sorties cinéma. Son blog, Sea You Son, aborde le sujet de la maternité et de l'expatriation : comment fait-on pour survivre avec un enfant en bas âge quand on est seul à l'autre bout de monde et donc seul face à soi-même et à cette petite personne, sans filet de sécurité ? Déborah a très vite rencontré des lectrices plutôt contentes de sa franchise. Depuis, Sea You Son a dépassé le million de vues.
Petits arrangements avec la ci... 0
Théâtre, Poésie, Littérature, Feel-good
Avec beaucoup d'humour et de tendresse, Minou Azoulai évoque, dans ces chroniques de la cinquantaine, les bons et les moins bons moments, les accidents de la vie et les bonheurs nouveaux. À la recherche d'une "zénitude" dans le couple et dans la vie, c'est le temps des petits arrangements dans lesquels beaucoup se reconnaîtront.
Ce récit d’évasion hors norme commence sur la minuscule île Népawa, dans la région isolée et rurale de l’Abitibi, au nord du Québec. C’est là que naît et grandit Julien Pelletier, durant la Grande Noirceur. S’échappant de son milieu alors que rien ne l’y destine, Julien Pelletier va mener une vie faite de voyages, de rencontres et d’initiations. Quelques mois dans les prisons marocaines, un temps dans la France contre-culturelle, une saison de pêche en Grèce, un séjour dans un ashram en Inde n’en sont que quelques épisodes. Dans ce récit plein de charme et de rebondissements, Julien Pelletier ressaisit le sens de sa traversée atypique du monde, du siècle et des classes sociales. Quand j’ai quitté l’île Népawa est aussi la chronique d’un farouche désir de devenir le sujet de son histoire.
Et si les années de l’entre-deux étaient les plus belles ? À l’âge où on lui promet de devenir invisible, une écrivaine se rebelle. Elle n’a plus qu’une idée en tête. Personne ne l’en dissuadera. Reconvertie en pédicure, elle s’installe à Marzahn, autrefois la plus grande cité de préfabriqués de RDA. Les habitants de ce quartier de Berlin viennent lui confier leurs pieds cabossés, usés par la vie. Ils ont besoin d’être rafistolés et racontent leurs histoires, celles qu’on n’entend jamais, des histoires miraculeuses, ordinaires, universelles…La lettre d’amour de Katja Oskamp aux habitants de Marzahn est une réflexion tendre et pleine de drôlerie sur les liens qu’on tisse dans les lieux les plus inattendus, sur la vie. Une comédie humaine en miniature.
Bulle. Une ville en plein cœur de l’Amérique où s’affichent le bonheur et le progrès des années prospères du baby boom. Sur une famille nombreuse règne un père dominateur, blagueur et bête sociale. S’étant débarrassé de racines trop encombrantes, ce grand petit coq rayonne, comme son pays, avec sa force et son originalité ostentatoire. Son fils s’adresse à lui, pesant le poids de leur héritage commun et du secret paternel. De même souche, leurs masculinités et leurs identités s’entrechoquent dans un récit d’affiliations et de désaffiliations où le fils résiste autrement que son père à son éducation et à un destin tout tracé.
Droit de retrait - Marta Casse... 0
Théâtre, Comédie, Vaudeville, SNCF
Été 2003, gare de Lyon Part-Dieu, les voyageurs du train à destination de Narbonne prennent place. Ce devrait être un trajet en TGV ordinaire, mais vol, trahison et amours vont s’inviter à bord et faire de ce vaudeville une folle sarabande. Marta Cassel joue en amateur dans une troupe de théâtre. Son amour pour l’art dramatique remonte à son enfance madrilène et aux spectacles de marionnettes que ses parents l’amenaient voir. Droit de retrait est sa première œuvre, fruit d’une quinzaine d’années de vie commune avec la SNCF et d’une longue réflexion autour de l’écriture.
Le meilleur moyen d’éradiquer la mère parfaite, c’est de glandouiller.Le terme est important car il n’appelle à aucune espèce de réalisation, il est l’ennemi du mot concilier. Car si faire vœu d’inutilité est déjà courageux dans notre société, pour une mère, c’est la subversion absolue.Le jour où je refuse d’accompagner père et bébé à un déjeuner dominical pour traîner en pyjama toute la journée, je sens que je tiens quelque chose.\"J’ai écrit ce texte pour frayer mon propre chemin parmi les discours dominants sur la maternité. J’ai aussi voulu témoigner de mes propres contradictions, de mon ambivalence dans le rapport à la norme, la tentation d’y céder. Face à ce moment de grande fragilité et d’ immense vulnérabilité, la société continue de vouloir produire des mères parfaites. Or la mère parfaite fait partie des Grands Projets Inutiles à dénoncer absolument. Il m’a paru important de me positionner clairement en tant que féministe parce que je veux donner un éclairage politique à mon expérience intime.J\'ai voulu un texte court. Plus que jamais, j’avais envie de tranchant, d’aigu, et surtout pas d\'une langue enrobante ou maternante.\" - Amandine Dhée
« On pourrait lire Sortir au jour comme un livre qui parle de la perte, mais c’est exactement l’inverse, Sortir au jour raconte ce qui nous lie. » Amandine DhéeÀ l’origine de Sortir au jour il y a cette rencontre dans une librairie entre l’autrice et Gabriele. Gabriele est thanatopractrice. Très vite, entre elles, un dialogue s’instaure où il sera tour à tour question de la quête de sens chez Gabriele et de sa reconversion dans une profession qui véhicule autant de clichés que de préjugés, mais aussi des réflexions qui animent l’autrice à propos du désir de transmission, des pertes et des liens qui unissent les êtres et marquent les générations. Liant l’intime au politique, avec l’humour et le sens de la formule qu’on lui connaît, Amandine Dhée atteint le but qu’elle s’était fixé : « écrire un livre réconfortant sur la mort ».
Au lendemain d\'une soirée arrosée, Orla se réveille seule. Où est Kate ? Que s\'est-il passé pendant cette folle nuit ? Lisbonne : cette année, c\'est là qu\'Orla et Kate, meilleures amies depuis toujours, passent leur traditionnel week-end entre filles, loin de tout. Loin de son quotidien éprouvant de jeune mère pour Orla, loin de son divorce tumultueux pour Kate. Et pour se changer les idées, Kate entraîne Orla dans une boîte de nuit pour danser jusqu\'à l\'aube. À son réveil, Orla se rend compte qu\'elle a tout oublié de la veille. Pire encore : Kate a disparu. Mais, sans aucun souvenir ni aucune preuve, la police refuse d\'enquêter. Orla ne peut compter que sur elle-même pour retrouver sa meilleure amie. Alors qu\'elle se lance sur ses traces, une série de découvertes bouleversantes remet en question toute sa vie. Si Lisbonne détient le secret de ce qu\'il s\'est passé cette nuit-là, la vérité réside peut-être plus près de chez elle...
Résumé :C’est le nombre de Photomatons que Jacob B’rebi a pris de lui-même entre 1973 et 1974. À quoi pouvaient bien servir ces selfies d’avant l’heure qui montrent tantôt un visage troublé, tantôt un rire forcé, qui paraissent si familiers et lointains en même temps ? Sont-ils l’expression d’une coquetterie, d’un humour solitaire ou la clé d’un mystère ? Lorsque Christophe Boltanski ouvre cet album ramassé aux puces, il est aussitôt aspiré par ces figures sorties d’un conte de Lewis Carroll. L’homme s’est réinventé en de multiples personnages, l’un barbu, l’autre glabre, l’un en uniforme, l’autre en chemisette décontractée. Acteur, steward, espion ? Les détails pourraient devenir des indices – ou des trompe-l’œil. Au dos des clichés, des adresses nourrissent encore l’énigme, de Rome à Bâle, de Marseille à Barbès ; quant aux prénoms ou diminutifs, ils ressemblent à des alias. Christophe Boltanski veut comprendre qui fut cet homme. Son besoin de savoir le conduit dans des échoppes à l’abandon, des terrains vagues, des docks déserts, des lieux ultra-sécurisés, puis dans les cimetières de Djerba, et enfin en Israël, aux confins du désert du Néguev ou au pied du mont Hermon. Patiemment, l’auteur reconstitue les vies vécues et rêvées de Jacob, où se mêlent paradis perdu, exil, désirs de vengeance, guerres et ambitions artistiques. Peu à peu, la quête s’approche du mythe, celui d’un homme qui recherche une terre pour oublier les arrachements de l’enfance, mêle instinct de fuite et de liberté, dans l’espoir de se réconcilier avec la mort et avec la vie.